FRANCAIS AU MAROC : FISCALITE ET DOUANE
jeudi
Nous vous proposons ici des conseils et recommandations pour tous ceux qui s'installent, pensent s'installer, ou voyagent au Maroc. Le choix des sujets traités est aléatoire. Il dépend des question qui nous paraissent les plus fréquentes ou les plus intéressantes, et de celles qui nous sont posées. En principe, nous nous limitons aux sujets que nous traitons professionnellement, à savoir fiscalité et douane.
Ces observations ne sont pas des consultations juridiques complètes. Elles ne dispensent en aucun cas d'une étude détaillée adaptée à chaque cas particulier, et ne sauraient donc engager notre responsabilité.
N'hésitez pas à nous faire part de vos problèmes, nous essayerons d'y trouver des réponses!
Pour nous joindre: fabrice.goguel@gmail.com
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samedi
Nouvelle
obligation déclarative en cas de départ de France :
Impôt virtuel, déclaration
réelle…
Depuis 2005, il n’existe plus de « quitus fiscal »
lors du départ fiscal de France. Mais les contribuables qui ont quitté la
France depuis le 3 mars 2011 sont –en principe tout au moins- immédiatement
imposables sur leurs plus-values « latentes ». C’est la différence
entre le coût d’acquisition et la valeur lors du départ des valeurs mobilières,
titres ou droits s’ils constituent une participation directe ou indirecte d’au
moins 1% dans une société, ou si leur valeur est supérieure à 1,3 millions
d’Euros. Deviennent également imposables les plus-values en report d’imposition
et les compléments de prix découlant d’une clause d’earn-out.
Si l’impôt était réellement exigible, les expatriés
devraient acquitter un impôt sur un revenu qu’ils n’auraient pas perçu.
jeudi
ADMISSION TEMPORAIRE DE VEHICULES
Les personnes non résidentes au Maroc peuvent bien entendu y venir avec leur voiture personelle. Cette opération banale est du point de vue douanier une "importation en franchise de droits et taxe", sous un régime qualifié "d'admission temporaire", et elle est soumise à des règles qu'il est utile de connaître.
mercredi
RESIDENCE FISCALE ET DUREE DE SEJOUR : attention aux idées reçues
On entend souvent dire par des français installés au Maroc « je ne suis pas résident fiscal en France parce que j’y passe moins de 6 mois par an », ou à l’inverse « pour conserver ma résidence fiscale marocaine, je suis contraint de passer au moins 183 jours par an au Maroc ».
La réalité juridique est
plus subtile.
plus subtile.
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